Ca y est, Blogger et moi, on a rompu. Bien sûr, nous avons partagé une belle expérience ensemble... mon premier blog... moi qui ai tant hésité à me lancer... je dois dire que je lui dois beaucoup...
Seulement voilà, je vous savais tous mitraillés de pubs dès le premier clic, à cause des fonctionnalités qui manquaient et qu'on avait du rajouter... ça ne pouvait plus durer!!!
J'ai eu aussi la chance de croiser sur mon chemin de blogueuse, de très belles personnes... tout au long de l'année qui s'est écoulée... je tiens à vous dire à tous combien vous comptez pour moi... combien je vous porte avec moi chaque jour dans mon coeur et dans ma tête...
Je ne pars pas, je n'arrête pas d'écrire. Je ne pourrais pas, ou plutôt je ne pourrais plus. Vous êtes tous devenus indispensables...
Merci de me suivre donc sur Wordpress... je vous promets que ce sera toujours moi... en mieux encore...
Sans la gentillesse et l'aide de mon ami L'Alcolo, rien n'aurait été possible...
Il y a des rencontres qui vous bouleversent plein de choses, là, comme ça... en un mois de temps... c'est incroyable...
Merci à m'sieur l'Alcolo, à son adorable fiancée, la Félée, pour leurs talents et le temps passé sur ma très belle bannière... à mon homme, si patient, qui va s'attaquer à transférer les photos et les vidéos d'ici à là-bas...
Et à vous tous... d'être là... toujours...
Je n'ai plus qu'une phrase...
"Qui m'aime me suive!"....
A bientôt.... sur maviedemaman.wordpress.com
dimanche 9 mars 2008
Bye bye Blogger
Publié par Véro à 23:41
samedi 8 mars 2008
Samedi de feignasse
J'ai eu une bonne petite semaine de nounou. Bon, ça va en faire rigoler certains, je le sais.
Mais tant pis... je me sens d'humeur feignasse aujourd'hui. Voilà. C'est dit. J'ai comme une envie de larvitude sur mon canapé, de café qui coule toutes les deux heures de ma Senseo, de bougies qui me réchauffent et chargent l'atmosphère de vanille (Le soleil s'est encore caché derrière un épais manteau gris... soupir...)... bref, rien de bien compliqué...
Le "plein" de courses a été fait hier soir. Par anticipation de ma flemme. Jenfi m'a accompagnée. Julie a fait la baby-sitter. Les filles, les courses, ça les saoûle. Moi aussi. Mais mon frigo rimait avec famine. Alors j'ai dû me résigner.
Le vendredi soir, j'y vais jamais d'habitude. Du moins pas vers les 18h30, heure des sorties de bureau. Je m'arrange pour y foncer une heure avant, pour éviter le flôt... mais là, je devais attendre mon homme resté en heure sup au boulot, pour une panne pas rigolote du tout... alors j'ai attendu... (y a toujours un brin de ménage à faire)
J'aime bien faire les courses avec lui, car comme je suis une tête en l'air (mêlée d'une coquette), j'oublie toujours mes lunettes (çà alors???!!! comment ça se fait????)... donc les étiquettes, bah, je les vois pas toujours... ce qui fait hurler les filles... quand je reviens avec mes sacs bourrés de trucs qu'elles aiment pas...
Elles : "Maman, pourquoi t'as pris des Kinder délices à la noix de coco????... c'est pas bon la noix de coco..."
Moi : "Quoi????... mais j'en voulais au chocolat moi!!!! Mince!!!!"
Bref, j'ai des millions d'exemples... de trucs pas bons... mais qu'on a dü manger, enfin "qu'il" a dû manger... (Jenfi est un très bon éliminateur de bêtises achetées par sa femme aveugle... ouf)
Hier c'était cool. J'avais une paire d'yeux supplémentaires avec moi.
Je suis d'abord passée à la pharmacie de la galerie marchande pour reprendre un biberon spécial allaitement (pour l'adorable bébé que je garde)... j'aime avoir tout ce qu'il me faut... j'ai bien vu que la vendeuse me regardait de la tête aux pieds avec un air de dire "Hum, vous venez d'accoucher vous??? Z'avez pris votre temps, madame, avant d'enfanter..."
Mais j'ai rien dit...
Jenfi attendait à côté de moi avec un air souriant "Elle va le faire ou pas" se disait-il....????
Et bien non, même pas.
Je suis sortie avec mon bib sous le bras sans rien dire. Je lui ai souri, à mon homme : "Quoi???... oui, j'ai vu la tête de la vendeuse. Non j'ai pas raconté ma vie comme quoi je suis assistante maternelle, patatipatata... je fais des progrès, hein???"
Jenfi est un ours et moi une bavarde. Dommage. Mais là, j'ai fait un effort surhumain. Il était tard. J'avais hâte de remplir mon caddy et de rentrer à la maison.
Manque de bol. Premiers pas dans l'allée centrale, première rencontre amicale. J'étais contente de revoir cet ami, papa d'une amie de Julie. Jenfi m'avait faussé compagnie dès l'entrée du magasin, tournant à droite d'emblée au rayon de la WII (notre cadeau de Noël en retard, merci les ruptures de stocks!!!)... Donc j'ai pris des nouvelles de l'ami en question Puis on a convenu qu'une petite bouffe ensemble serait une bonne idée. L'ami m'a dit "Ouais, super, tu vois ça avec B., elle est quelque part, là, dans les rayons, tu vas tomber sur elle..."... j'ai dit ok mais je savais que sans mes lunettes, fallait vraiment que je la percute pour la voir. Donc, je l'ai pas croisée.
Jenfi est revenu vers moi un bon quart d'heure de remplissage de bouffe après. Content de lui. Enfin détenteur de la précieuse (et trop chère) console. (Merci papa Noël)... il a commencé à regarder mes emplettes et a constaté que j'avais pas fait trop de boulettes, pour une fois.
J'ai pesté contre le nouvel aménagement des rayons du magasin le plus proche de chez nous... je ne trouvais rien comme avant. Du coup j'ai eu moins de tentations. mais j'ai aussi oublié des trucs indispensables.
Ca m'énerve.
Revenir à la maison et voir qu'il me reste 3 pastilles pour le lave-vaisselle...
Y a qu'à moi que ça arrive...
Les oublis existentiels de ce genre... comme le PQ...
J'en ai marre...
Comptez-pas sur moi pour aller chercher les pastilles aujourd'hui. Non. Sûrement pas. Un samedi, c'est l'horreur de faire les courses. c'est plus de mon âge.
Non là j'ai juste envie d'écouter les 4 zouaves (Julie, Manon, Zoé et Jenfi) qui jouent devant leur boitier magique, dans notre chambre...
De me regarder un bon vieux DVD... un déjà-vu... mais un classique...
Russel Crowe me tente bien... un petit Gladiator, ça fait de mal à personne... surtout quand c'est filmé par Ridley Scott, un des mes cinéastes préférés...
Si vous me cherchez, je suis là, à côté, sur mon canapé, recroquevillée sous mon plaid polaire, avec ma tasse de café, juste dans la pénombre d'une bougie qui vacille...
J'ai préparé mes Kleenex (une fois installée, je ne me relève pas!)... Bah oui, même si je connais le film par coeur, je chiale à chaque fois...
Surtout à la fin...
Et ce petit morceau divin n'aide pas, avouez-le... je suis toujours pleine de frissons quand je l'écoute...
Allez la feignasse vous dit à plus tard...
Russel m'attend....
Publié par Véro à 14:59
Les Enfoirés
Hier soir, c'était la seule soirée variété que je m'accorde dans l'année (Faux!!! j'ai regardé les NRJ music awards cette année,.. mais c'était juste pour Vanessa)... Tous les ans, je suis fidèle. A défaut de donner de mon temps dans les restos du coeur, j'achète le CD quand le "cru" de l'année est réussi... je n'achète pas beaucoup de CD, mais ceux des Enfoirés, j'en ai quelques-uns... glissés entre mes Kate Bush, mes Peter Gabriel, mes DM, mes Prince et autres trésors de ma jeunesse... (et oui j'étais aussi une fan de Prince, autre paradoxe de mes goûts musicaux... je ne me souviens plus combien de fois je me suis endormie avec "When doves cry" ou "Little red corvette" sur mes oreilles de petite lycéenne accro à son walkman... pff, trop de fois!!!...)
La Une s'est octroyée la diffusion des Enfoirés depuis quelques années.. (dommage, mais bon)... Le spectacle est à la hauteur, comme tous les ans... (fort heureusement pour les nombreux bénévoles qui y assistent)... L'enregistrement s'est fait à Strasbourg, ville de passage sur leur tournée en janvier dernier. Céline Dion était là, cet unique soir. Je pense que cela a forcé le choix de la date d'enregistrement (Audimat, quand tu nous tiens!!!). Céline ne vient pas tous les 4 matins en France... et encore moins pour faire la zouave avec les chanteurs français les plus en vogue du moment. Jean-Jacques Goldman est l'organisateur en chef de la tournée des restos. Ce sont de vieilles connaissances. Céline lui a fait un petit cadeau en donnant de son temps. A Strasbourg. Juste retour des choses.
J'aime regarder le spectacle des Enfoirés car les duos, trios, etc... sont toujours de qualité... les reprises sont bien choisies. Les costumes et les chorégraphies sont étudiés. Et le plus important : on ressent leur complicité et leur joie de tous se retrouver.
On se dit alors que ça doit bien se marrer en coulisses... ou dans les hotels le soir... on se dit que pour eux, ce doit être une partie de rigolade. Et pour nous, un vrai régal auditif et visuel.
Hier j'ai particulièrement apprécié la version remixée de "Je l'aime à mourir" de Francis Cabrel (J'ai tous les CD de Cabrel, c'est un incontournable pour moi)... j'ai aimé le match filles-garçons, avec les reprises de Mika et Fatal Bazooka... Le "double jeu" de Christophe Willem était excellent... et le quatuor Laam, David Hallyday, Céline Dion et Tina Arena sur "I wanna know what love is" était très réussi...
Chapeau... encore une fois... à toute cette équipe de joyeux lurons qui nous offrent un divertissemnt de qualité.
Le seule souci là-dedans, c'est que ça nous accapare Jean-Jacques Goldman. Il ne se consacre plus qu'à cela (c'est vrai que c'est une sacrée gestion et organisation, c'est tout à son honneur). Mais on a perdu un chanteur-compositeur de qualité. J'aime cet homme. Il m'émeut beaucoup. Rien que dans sa façon d'être.
Voilà, c'était mon enfoiré de billet...
je ne pouvais pas ne pas en parler...
Les restos, c'est important...
Trop de gens continuent d'avoir faim et d'avoir froid...
Beaucoup trop...
Coluche peut être fier depuis son petit nuage, la soirée était réussie...
Car il ne faut pas l'oublier, lui aussi, "il compte sur nous"...
Une de mes préférées de Jean-Jacques Goldman... pour le texte... et la mélodie....
Publié par Véro à 10:42
jeudi 6 mars 2008
J'ai froid
Publié par Véro à 18:11
mercredi 5 mars 2008
La télé fait bien les choses....
Vous le savez (ou pas??? dans ce cas, je le redis) j'ai vécu à Rouen. Deux ans. Notre échappée de dix ans à Paris touchant à sa fin en 2001, nous avons eu soif de verdure, de petits oiseaux, de plages, de... soleil...(faut peut-être pas non plus que j'en demande trop, c'est la Normandie!!!!).... nous avons donc fait un petit saut d'une centaine de kilomètres... entre la capitale et ma ville natale, le Havre... à Rouen. Donc. Au milieu des deux.
Mon homme est le mari idéal (si, si). Il m'obéit au doigt et à l'oeil (presque) Quand nous étions parisiens, que la pollution encrassait les poumons de nos filles (les joies de la bronchiolite), que le bruit nous agressait, que le loyer grimpait, nous faisions des listes... de villes... suceptibles de nous accueillir en mutation... J'avais fait une liste de "Oui, j'y cours" et de "Jamais de la vie".... Dans mes Oui figuraient Toulouse, Perpignan, Pau, Toulon, Rennes, Aubenas,... dans mes Jamais trônaient Bordeaux et Rouen...
Je vous le disais, mon mari fait tout pour que je réalise mes rêves. Avec l'expérience, je sais qu'il faut que je ne lui dise jamais ce que je déteste sinon il me déniche mon pire cauchemard!!!!!
Mais bon, je l'aime, malgré les défis qu'il met sur ma route!!!!
Nous voilà donc partis pour Rouen... en fait Malaunay, une petite ville près de Barentin plus exactement, toute jolie, toute mignonne... une maison, un jardin, une forêt au bout de la rue nous attendaient... l'idée était belle... alléchante...
J'ai aimé vivre dans cette petite impasse fleurie, où les maisons se faisaient face à face... où les gens se cachaient derrière leurs rideaux et ne sortaient jamais de chez eux... des "parisiens" venaient de débarquer (bah oui un 75 au derrière, ça colle une étiquette de parigot)... j'avais beau être normande, personne ne venait me voir... jamais... J'ai passé un hiver sans parler à un seul de mes voisins...
Puis le printemps est arrivé, les têtes sont sorties de dessous leurs chapeaux... les salons de jardin sont revenus peuplés les terrasses verdies par la pluie (ah bon, il pleut en Normandie, c'est nouveau!!!!!?????)... je commençais à mettre un visage sur ceux qui se cachaient derrière leurs rideaux quand je descendais à l'école, avec ma marmaille... enfin...
Claudine et Jean-Noël habitaient en face de chez nous... la même maison... ils avaient deux enfants (qu'ils ont toujours)... et semblaient vraiment très sympas en apparence...
Nos filles ont commencé à se fréquenter... cela a permis de faire un lien... de trouver un prétexte pour un apéro... et une belle amitié a suivi... jusqu'à notre départ en 2003... pour le Havre...
Nos vies ont alors pris un chemin différent... ce fut assez difficile de les quitter... tout comme nos autres amis et voisins, Sandrine et Christophe, à qui je pense beaucoup aussi, et qui méritent un petit billet à eux seuls...
Claudine et Jean-Noël ont toujours su nous surprendre... en arrivant au Havre à l'improviste, un dimanche matin où nous trainions en pyjama, avec un bon couscous sous le bras... en nous programmant des soirées barbecues sympas, alors que nous revenions du sud de la France, de chez ma belle-famille... éreintés, et le frigo vide... en nous prenant notre aînée chez Eurodisney, un dimanche d'hiver, où Julie manquait d'étincelles dans les yeux...
Nous avons été bien gâtés...
J'espère qu'ils le savent...
On ne leur a pas assez dit.
Je m'en rends compte, là, ce soir...
Pourquoi ce soir?
Parce que j'ai vu un reportage au journal de la Une (oui Odile, tu lis bien, la UNE!!!!)... et j'ai vu ma Claudine, là, à la télé... dans son élément (elle travaille dans la déco)... toute belle, toute sûre d'elle... (l'extrait est court... mais je ne résiste pas à l'idée que vous passiez à côté d'un conseil spécial sticker donné par Claudine!!!!)
Je ne l'ai pas revue depuis qu'on vit à Bordeaux... la distance... les lieux de vacances à l'opposé (ils sont davantage Méditérannée qu' Atlantique!!!)... le temps qui passe...
Claudine, tu n'as pas changé tu sais...
C'est bizarre d'être tombée sur toi là... assise depuis mon canapé...
Je voulais vous dire que vous nous manquez.
Et qu'on vous aime très fort.
Publié par Véro à 19:18
mardi 4 mars 2008
Mon frangin
Jamais il n'aura d'enfants. Il n'en veut pas. A quoi bon? Pour être un père comme le sien? Absent? Non, autant ne pas fonder une famille.
Publié par Véro à 16:07
lundi 3 mars 2008
Faire connaissance...
Publié par Véro à 14:24